jeudi 31 mai 2007

#10

Un sac de jute sur la clavicule
Le clampin charmant marchait fou de rage en vérité ; il avait pris la foudre !
Des neuf vies que je vis ce fut la plus irritable _
A taper les fronts en fratrie
L'âme débonnaire et allante
Sentir le temps couler en sable mouvant.
Il comptait les heures. Il n'en avait plus pour longtemps. Certainement un brave type sans le sablier.
A finalement gosser, le courant passait bien entre nous.
Ce genre de chose qui vous glace et vous laisse de marbre alors que peu te chaud
Achtungs en rafale en fin de vision ///

1 commentaire:

Hectorvadair a dit…

Plutôt bonne ta poésie...
Sacré Godot! Je vous aime bien toi
et ta musique.
...Au plaisir !?